Le dernier souper
Avant la fête, après la fête, une impression de temps suspendu
Hey debout, il est minuit, c’est l’heure de faire la fête sous un ciel féerique et divin !
Tandis que l’heure avance, les bouteilles de champagne se vident, le son d’une musique diffuse se fait entendre et que ce jour-là va bientôt finir après cette fête où tout était charmant, mais fiévreux et fou. Une étrange rencontre qui balance sans cesse entre rêve et réalité se crée. Visuellement, tout comme narrativement, cela se transcrit par la scène des chaussures, quoi de plus banal ! et le spectateur incrédule et amusé sait qu’ils sont là, leurs chaussures ont pris forme humaine ce qui convainc le monde qu’une histoire d’amour a déjà commencé…
Ceci traduit la quête de l’Homme, ses passions, ses aventures, ses illusions et ses espoirs.
Le Repas du Seigneur symbolise la vie en tant que fête. Il s’agit de magie et de vérité, de valeur et de principe, des normes et de l’ordre moral, des besoins et de la conformité. Il s’agit de moralité et de réalité voilée et dévoilée, non encombrée de convention, il s’agit de frénésie, de perte de contrôle, d’attentes mutuelles, mais aussi de frivolité et de gueule de bois.
Le Repas du Seigneur est l’histoire d’un premier amour sublime iridescent et coloré comme un souvenir flamboyant plein de charme ! toujours plus fort, toujours plus fou !
C’est peut-être l’histoire d’un premier amour qui se concrétisera plein de charme,